♘امیرحسین♞
♘ مدیریت انجمن اسب ایران ♞
C'est avec un immense plaisir que nous vous annonçons la création du premier centre équestre d'Ispahan dédié à l'élevage des chevaux Turkmènes. Inauguré en août 2008, la « Raisi Turkmen Stud Farm » représente un financement entièrement privé de 15 Milliard de Rials. Ce beau projet a vu le jour grâce à Amir-Hossein Raisi, 53 ans, qui se passionne pour les chevaux akhal-tékés. Ce centre d'élevage & d'études équestre dédié aux Akhal-Tékés, comprend une clinique vétérinaire, et devient ainsi le premier en son genre.
La « Raisi Turkmen Stud Farm » s'étend sur cinq hectares, avec deux pistes de galop externes un manège de 45 mètres carré, et un parc boisé de 50 mètres carré, un manège couvert de 20m x 40m, des écuries de 30 juments et 2 étalons. L'Office vétérinaire traite sur place des affections équines, pratique l'insémination artificielle (in-vivo) et le stockage de semences, ai si que le suivi des mises bas. M. Raisi
prévoit de produire pour l'exportation une vingtaine de chevaux akhal-téké par an.
Le cheval Turkmène d'Iran est issu des clans turkmènes installés à la frontière Nord du pays. Il est connu pour son physique à la fois élancé et puissant, ses traits fins, et son déplacement souple et léger. Il a acquis ses lettres de noblesse au cours de l'Histoire et il est devenu symbole de puissance et cheval de prédilection des souverains, Pachas, et Sultans, d'antan.
Le génome du cheval Turkmène est aussi à la base de tous les croisements réussis qui ont abouti aux chevaux de sport de sang.
Ses qualités les plus reconnues sont courage, hardiesse, vitesse et endurance ; c'est un cheval qui restera fidèle envers son cavalier au travers des plus difficiles des circonstances, la chaleur et le froid des déserts, les régions arides… Il ne s'abreuvera que sobrement, et s'adaptera aux conditions de haute-montagne, avec son pas sûrs et sa résistance aux climats les plus rigoureux.
La race Turkmène se divise en deux groupes spécifiques qui sont connues sous les noms des tribus originaires, l'Akhal-Tekké et le Yomoud, ces deux races n'ont pas beaucoup de différences génétiques, et ont des caractéristiques physiques communes.
Les chevaux de race Yomud, présents dans les régions frontalières de l'Iran et du sud Turkménistan, sont de gabarit plus carré, de taille inférieure, plus large de poitrine et plus massif, que leurs cousins Akhal.
L'Akhal lui-même se répartit en Iran en deux types spécifiques. Le premier est celui de la tribu des Tekkés, le fameux Akhal-Teké, à la physionomie caractéristique : élancé, avec des membres fins, longs et droits, des épaules, une encolure et la nuque hauts, des courbes élégantes distinctives, et une figure surmontée de longues oreilles droites, l'absence de chair aux joues et tempes, l'ossature des joues hautes, les narines larges en « kashmir », et les yeux en amande vifs et expressifs. L'autre type d'Akhal est le Gattmann, qui, au contraire de son cousin Teké, est peu présent dans le cercle d'élevage, concours et courses, ou l'Akhal-Teké a un bon palmarès. Bien qu'il n'y ait peu de différences entre ces deux sortes de chevaux Turkmènes, on peut noter, que le Gattmann est plus massif.
Si l'Histoire de l'Akhal, et des chevaux Turkmènes en général, est couverte de gloire, et de grande renommée; elle n'as pas su aux cours du siècle dernier, se doter d'un retentissement international. Sûrement dû à la célébrité toujours croissante des races Arabes et Pur-Sang et à la disparition du rôle du cheval dans la vie de tous les jours, ce ma,que de reconnaissance des races turkmènes est aussi lié à certains problèmes d'ordre géopolitiques, qui ont conduit à l'effondrement du cheptel de chevaux Turkmènes de qualité, au cours du XXe siècle.
Heureusement depuis peu, en Iran, hormis les éleveurs traditionnels du Nord du Khorassan, d'autres amateurs se sont intéressés au sort de ces créatures magnifiques. Parmi eux, M. Raisi œuvre pour le développement de la race et le retour de celle-ci dans plusieurs disciplines sportives.
(c) Nader "StandingTurkey" Hedayat-Vaziri & Laurence Bougault
La « Raisi Turkmen Stud Farm » s'étend sur cinq hectares, avec deux pistes de galop externes un manège de 45 mètres carré, et un parc boisé de 50 mètres carré, un manège couvert de 20m x 40m, des écuries de 30 juments et 2 étalons. L'Office vétérinaire traite sur place des affections équines, pratique l'insémination artificielle (in-vivo) et le stockage de semences, ai si que le suivi des mises bas. M. Raisi
prévoit de produire pour l'exportation une vingtaine de chevaux akhal-téké par an.
Le cheval Turkmène d'Iran est issu des clans turkmènes installés à la frontière Nord du pays. Il est connu pour son physique à la fois élancé et puissant, ses traits fins, et son déplacement souple et léger. Il a acquis ses lettres de noblesse au cours de l'Histoire et il est devenu symbole de puissance et cheval de prédilection des souverains, Pachas, et Sultans, d'antan.
Le génome du cheval Turkmène est aussi à la base de tous les croisements réussis qui ont abouti aux chevaux de sport de sang.
Ses qualités les plus reconnues sont courage, hardiesse, vitesse et endurance ; c'est un cheval qui restera fidèle envers son cavalier au travers des plus difficiles des circonstances, la chaleur et le froid des déserts, les régions arides… Il ne s'abreuvera que sobrement, et s'adaptera aux conditions de haute-montagne, avec son pas sûrs et sa résistance aux climats les plus rigoureux.
La race Turkmène se divise en deux groupes spécifiques qui sont connues sous les noms des tribus originaires, l'Akhal-Tekké et le Yomoud, ces deux races n'ont pas beaucoup de différences génétiques, et ont des caractéristiques physiques communes.
Les chevaux de race Yomud, présents dans les régions frontalières de l'Iran et du sud Turkménistan, sont de gabarit plus carré, de taille inférieure, plus large de poitrine et plus massif, que leurs cousins Akhal.
L'Akhal lui-même se répartit en Iran en deux types spécifiques. Le premier est celui de la tribu des Tekkés, le fameux Akhal-Teké, à la physionomie caractéristique : élancé, avec des membres fins, longs et droits, des épaules, une encolure et la nuque hauts, des courbes élégantes distinctives, et une figure surmontée de longues oreilles droites, l'absence de chair aux joues et tempes, l'ossature des joues hautes, les narines larges en « kashmir », et les yeux en amande vifs et expressifs. L'autre type d'Akhal est le Gattmann, qui, au contraire de son cousin Teké, est peu présent dans le cercle d'élevage, concours et courses, ou l'Akhal-Teké a un bon palmarès. Bien qu'il n'y ait peu de différences entre ces deux sortes de chevaux Turkmènes, on peut noter, que le Gattmann est plus massif.
Si l'Histoire de l'Akhal, et des chevaux Turkmènes en général, est couverte de gloire, et de grande renommée; elle n'as pas su aux cours du siècle dernier, se doter d'un retentissement international. Sûrement dû à la célébrité toujours croissante des races Arabes et Pur-Sang et à la disparition du rôle du cheval dans la vie de tous les jours, ce ma,que de reconnaissance des races turkmènes est aussi lié à certains problèmes d'ordre géopolitiques, qui ont conduit à l'effondrement du cheptel de chevaux Turkmènes de qualité, au cours du XXe siècle.
Heureusement depuis peu, en Iran, hormis les éleveurs traditionnels du Nord du Khorassan, d'autres amateurs se sont intéressés au sort de ces créatures magnifiques. Parmi eux, M. Raisi œuvre pour le développement de la race et le retour de celle-ci dans plusieurs disciplines sportives.
(c) Nader "StandingTurkey" Hedayat-Vaziri & Laurence Bougault